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Mackenzie répond à vos questions concernant l’investissement durable.

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La durabilité serait-elle la prochaine vague d’occasions?

La poursuite d’un développement durable – faire en sorte que la planète soit vivable pour les générations futures – va révolutionner pratiquement tout ce que nous faisons et notre façon de faire les choses aujourd’hui, y compris nos modes de déplacement, ce que nous achetons, ce que nous mangeons, nos méthodes de fabrication, la façon dont nous chauffons nos domiciles...

Le magazine Forbes dit de la transition vers l’énergie renouvelable qu’elle représente « L’occasion d’investissement de 100 billions $. »1

Quelques chiffres éloquents :

  • 10 millions de VE ont été achetés en 2022, comparativement à 1 million en 2017 et 120 000 en 20122.
  • Les investissements dans le nouveau réseau devraient atteindre les 15 billions $ US au cours de cette décennie.
  • Le marché mondial des bâtiments intelligents devrait connaître une croissance annuelle de 22 % entre 2022 et 2029, passant de 80,62 milliards $ en 2022 à 328,62 milliards $3.
  • La croissance des protéines d’origine végétale devait quintupler au cours de cette décennie, remplaçant la viande par des produits qui sont de 80 à 99 % moins intensifs en gaz à effet de serre4.

Où en sommes-nous dans notre cheminement vers la carboneutralité?

Des progrès sont réalisés, mais le chemin vers la carboneutralité reste difficile. Plafonner le réchauffement planétaire entre 1,5 et 2 °C nécessite une réduction radicale des émissions mondiales de gaz à effet de serre, combinée à des crédits carbone, pour atteindre la carboneutralité d’ici 2050. (Une fois l’état d’émissions nettes zéro atteint, la température mondiale cessera d’augmenter.)

Selon certaines estimations, les engagements actuels en vue d’une réduction des émissions de carbone ne réduiront les émissions que d’environ 10 % en 2030 par rapport aux niveaux de 2019, bien en deçà de ce qui est nécessaire pour réaliser les objectifs de l’Accord de Paris. Nous pouvons malgré tout accélérer les avancées au cours de cette décennie en réduisant davantage les émissions dans les pays à revenu élevé et en augmentant le financement lié au climat, mais des retards supplémentaires dans l’action climatique mettraient le seuil de 1,5 °C hors de portée.

Source : Livre vert 2023 de Mackenzie

L’énergie solaire serait-elle la voie de l’avenir?

Nous pensons que l’avenir de l’énergie solaire est prometteur. En moins d’une décennie, le coût de l’énergie solaire à grande échelle  a reculé de plus de 85 %5, de sorte que les énergies solaire et éolienne sont aujourd’hui les formes d’énergie les moins chères pour les nouvelles constructions, coûtant moins que le gaz naturel, l’énergie géothermique, le charbon ou encore le nucléaire. Comparativement à l’énergie éolienne, l’énergie solaire est moins chère, plus prévisible et plus simple et rapide à installer : la planification et le développement d’un parc éolien peuvent prendre jusqu’à dix ans, contre deux ans ou moins pour l’énergie solaire. Le marché de l’énergie solaire, d’une valeur de 200 milliards $ US, devrait connaitre un taux de croissance composé annuel de 7,2 %, atteignant 368,63 milliards $ US d’ici 20306.

Étant donné que les énergies renouvelables génèrent au total seulement 11 % de l’énergie mondiale, il est trop tôt pour dire qui l’emportera. À notre avis, les investisseurs voient juste en diversifiant leur exposition aux multiples types d’énergies renouvelables (de l’énergie éolienne en mer à l’éthanol de canne à sucre) et en exploitant les différents points de la chaîne de fabrication, de la production d’électricité au stockage en passant par la distribution.

Durable, responsable ou ESG? Quelle est la différence?

Placements durables, responsables et ESG sont tous des termes qui désignent la même chose : un processus d’investissement qui combine l’analyse financière traditionnelle et les perspectives environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) afin d’améliorer les résultats à long terme des portefeuilles des investisseurs ainsi que le monde dans lequel nous vivons. 

Les investisseuses et investisseurs se soucient-ils vraiment de l’investissement durable?

Absolument. Le dernier Sondage d’opinion des investisseurs de l’AIR indique que la vaste majorité des investisseuses et investisseurs canadiens s’intéressent à l’investissement durable. Le rapport indique que :

  • 77 % ont un intérêt modeste à élevé pour l’investissement responsable.
  • 82 % aimeraient consacrer une portion de leur portefeuille à des placements responsables.
  • 77 % conviennent que les sociétés ayant de bonnes pratiques ESG constituent de meilleurs placements à long terme.

Qu’y a-t-il de si vert dans les obligations vertes?

Lorsque vous investissez dans une obligation, vous prêtez de l’argent, mais à quelles fins? S’il s’agit d’une obligation traditionnelle, la personne qui investit pourrait ne pas le savoir. Dans le cas des obligations vertes, par contre, l’emprunteur est tenu d’utiliser l’argent dans un but précis qui est énoncé clairement. Le label « obligation verte » donne aux investisseurs l’assurance que leurs investissements serviront à financer des projets verts ou environnementaux, nouveaux ou existants, tels que la transition des activités d’une entreprise vers l’utilisation d’énergies renouvelables, la rénovation de ses bâtiments pour qu’ils soient neutres en carbone, ou le développement d’une infrastructure de recyclage pour ses produits.

Les obligations vertes sont un type d’ « obligation durable », un terme qui englobe également les obligations à impact social, lesquelles fonctionnent de manière similaire, la différence étant que les projets bénéficient à la société dans des domaines tels que la santé, l’éducation, le logement abordable et la sécurité alimentaire.

Le volume de dette durable émise à l’échelle mondiale a quadruplé depuis 2018, atteignant 1,4 billion $ en 2022, et ce chiffre devrait continuer à augmenter. Un rapport de McKinsey estime qu’il faudrait consacrer chaque année 3,5 billions $ de plus que les niveaux actuels aux actifs physiques à faible émission pour que le monde atteigne les objectifs de carboneutralité7.

1 Forbes

2 IEA

3 Fortune Business Insights 

4 Bloomberg

5 The Guardian.

6 Global Newswire.

7 McKinsey Global Institute. « The net zero transition: What it would cost, what it could bring. » Janvier 2022.

Au cœur des débats...

  • Qu’est-ce que les changements climatiques ont à voir avec les placements?

    Les changements climatiques présentent à la fois des risques et des occasions d’investissement. Une étude récente a révélé que les industries sont presque toutes menacées, directement ou indirectement, par les changements climatiques. Selon l’Institut climatique du Canada, le coût des dommages climatiques ralentira la croissance économique du Canada de 25 milliards $ par année en 2025, éliminant la moitié de la croissance projetée du PIB pour l’année 20221.

    Selon un autre sondage, les occasions liées aux changements climatiques auraient dépassé les risques. Plus de 200 des plus importantes sociétés du monde ont déclaré que les impacts climatiques représentaient un risque de près de 1 000 milliards $ US, mais également des occasions de 2 100 milliards $ US2. Par conséquent, dans les années et décennies à venir, il existe des occasions et des risques significatifs pour les investisseurs.

    Mackenzie lutte contre le changement climatique de diverses façons. Nous sommes aujourd’hui l’un des principaux fournisseurs de fonds durables au Canada, ayant lancé de nouveaux fonds conçus de façon à :

    • Attirer les capitaux vers des sociétés qui relèvent le défi du changement climatique de par le monde.
    • Investir dans des sociétés qui accomplissent de réels progrès dans la réduction de leur empreinte carbone.

    Nous participons par ailleurs à des initiatives collaboratives.  Mackenzie est membre de Climate Action 100+, une initiative qui regroupe 400 sociétés (35 billions en actifs sous gestion) pour faire en sorte que les 100 plus importantes entreprises émettrices de gaz à effet de serre au monde prennent les mesures nécessaires pour lutter contre le changement climatique. Mackenzie adhère également à l’initiative Net Zero Asset Managers, laquelle regroupe 300 membres (59 billions $ en actifs sous gestion) déterminés à soutenir l’objectif de carboneutralité d’ici 2050 ou plus tôt en s’engageant auprès des milliers d’entreprises dans lesquelles ils investissent.

  • Comment les sociétés parviennent-elles à l’objectif de carboneutralité? Indice : De trois façons.

    Les sociétés parviennent à l’objectif de carboneutralité de trois façons.

    1. Premièrement, elles réduisent le plus possible leur consommation d’énergie.
    2. Ensuite, elles opèrent une transition pour que, dans la mesure du possible, leurs besoins énergétiques soient couverts par une source d’énergie renouvelable, telle que l’énergie solaire ou éolienne.
    3. Enfin, pour l’utilisation inévitable d’énergie qui génère du carbone, les sociétés peuvent acheter des crédits de carbone.


    Les fournisseurs de crédit de carbone utilisent l’argent pour financer des projets qui réduisent les émissions de gaz à effet de serre ou augmentent le stockage de carbone afin de compenser les émissions qui ont lieu ailleurs. Parmi les exemples de projets, citons le reboisement, la construction d’installations d’énergie renouvelable, les pratiques agricoles qui stockent le carbone, ainsi que la gestion des déchets et des décharges. 

  • L’énergie renouvelable sera-t-elle un jour meilleur marché que les combustibles fossiles?

    Elle l’est déjà. Selon un rapport de BloombergNEF, les nouveaux projets éoliens et solaires terrestres coûtent environ 40 % de moins que les centrales au charbon ou au gaz montées de toute pièce, et l’écart se creuse3 . La production d’énergie solaire coûte 37 $ par MWh (mégawattheure) sur la base des coûts de la durée de vie d’une nouvelle construction, et l’éolien terrestre coûte 40 $ par MWh, contre 59 $ pour le gaz et 112 $ pour le charbon, selon une étude de la banque d’investissement Lazard4. En fait, cette étude révèle que les projets éoliens et solaires terrestres sont même compétitifs lorsqu’on compare une nouvelle construction avec le coût du simple fonctionnement des centrales à charbon, nucléaires et à gaz existantes, le solaire et l’éolien n’ayant pas de coûts marginaux d’exploitation.

  • À quoi les adhérents à l’initiative Net Zero Asset Managers s’engagent-ils?

    Les plus de 300 signataires de l’initiative Net Zero Asset Managers gèrent des actifs mondiaux d’une valeur de 59 billions $, ce qui représente des participations dans des milliers d’entreprises. Les gestionnaires d’actif sont déterminés à soutenir l’objectif de carboneutralité d’ici 2050 ou plus tôt. Pour ce faire, ils évaluent l’ensemble de leurs actifs, fixent des objectifs et, par le biais d’un engagement et d’une collaboration, veillent à ce que toutes les sociétés dans lesquelles ils investissent soient sur la bonne voie pour parvenir à l’objectif de carboneutralité. Les gestionnaires d’actif s’engagent par ailleurs à créer des produits de placements qui cadrent avec l’objectif de carboneutralité d’ici 2050 et à favoriser l’accroissement des investissements dans les solutions climatiques.

  • Comment faire la différence entre écologie et écoblanchiment?

    L’écoblanchiment est la présentation erronée d’un produit, d’un service ou d’un investissement, pour donner l’impression que sa durabilité est plus grande qu’elle ne l’est en réalité. Pour les investisseurs, la question de l’écoblanchiment se pose pour trois groupes :

    • Entité détenue : Avant d’investir, les gestionnaires de portefeuille des fonds durables effectuent des recherches et des contrôles préalables rigoureux afin d’identifier les entreprises cotées en bourse qui respectent réellement leurs critères de durabilité. Les données ESG sont utilisées pour vérifier les efforts réels de l’entreprise et les comparer à ceux d’autres sociétés du même secteur, à l’aide de mesures appelées IRC (indicateurs de rendement clé).
    • Gestionnaire de fonds d’investissement : Mackenzie a publié une Politique d’investissement durable détaillée qui présente ses procédures et son engagement pour la gestion de ses investissements de manière conforme aux Principes pour l’investissement responsable des Nations Unies.
    • Organismes de réglementation : En réponse aux préoccupations relatives à l’écoblanchiment dans le secteur des fonds d’investissement, les organismes de réglementation des valeurs mobilières au Canada, aux États-Unis et en Europe s’efforcent d’encourager une divulgation complète et précise des facteurs ESG. 
  • Les sociétés durables obtiennent-elles de meilleurs résultats?

    La réponse n’est pas tout à fait simple. Néanmoins, un corpus croissant de recherches démontre que les fonds durables ont obtenu en moyenne des résultats financiers comparables, voire supérieurs, à ceux des placements conventionnels à long terme5. Une analyse de 2021 portant sur plus de 1 000 études publiées au cours des cinq dernières années a révélé que 59 % affichaient des résultats similaires ou supérieurs à ceux des méthodes d’investissement traditionnelles, tandis que seulement 14 % présentaient des résultats négatifs. 

Pourquoi est-ce important pour mes activités professionnelles?

  • Les gestionnaires de portefeuille sont-ils convaincus de l’importance des facteurs ESG?

    Oui, la grande majorité des spécialistes des placements en sont convaincus. Selon l’Association pour l’investissement responsable, 94 % des gestionnaires d’actifs canadiens se servent des facteurs ESG pour informer leurs décisions de placement. Les deux principales raisons évoquées sont la réduction des risques avec le temps, pour 80 % d’entre eux, et l’amélioration de la performance avec le temps, pour 65 % d’entre eux1.

    Dans une enquête mondiale menée auprès de plus de 1 100 professionnels des placements, 89 % d’entre eux tiennent compte des questions ESG sous une forme ou une autre dans le cadre de leur approche d’investissement. Les professionnels européens sont plus nombreux que ceux d’Amérique du Nord (31 % contre 18 %) à déclarer que les facteurs ESG sont au cœur de leur approche d’investissement. Seulement 13 % des professionnels de l’investissement ont déclaré qu’ils considéraient les facteurs ESG comme une « mode passagère qui finira par perdre de son attrait »2.

  • Quelle stratégie ESG convient le mieux à ma clientèle?

    Voici les quatre solutions d’investissement durable :

    • Les fonds intégrant des critères ESG tiennent compte des risques ESG importants dans le cadre de la recherche, de l’évaluation ou du processus de placement. Ils conviennent parfaitement aux personnes qui souhaitent protéger leur capital contre les transformations majeures découlant des problématiques ESG.
    • Les fonds durables de base sont idéaux pour les investisseurs à la recherche d’une exposition large et bien diversifiée à une catégorie d’actifs majeure (p. ex. actions mondiales) par le biais d’investissements dans des entreprises ayant des pratiques ESG positives.
    • Les fonds durables thématiques s’adressent aux personnes qui souhaitent cibler une tendance ESG particulière, tels que le leadership des femmes ou les énergies renouvelables.
    • Les fonds durables à impact sont parfaits pour les personnes à la recherche d’un fonds qui maximise l’impact pour un défi ou une occasion ESG donnée. 
  • Les jeunes investisseurs se soucient-ils vraiment des critères ESG ?

     

    Oui, les jeunes générations adoptent plus rapidement l’investissement responsable. Selon une enquête récente menée auprès d’investisseurs canadiens, plus de 70 % des personnes âgées de moins de 55 ans sont assez ou très intéressées par l’investissement responsable, comparativement à 51 % des personnes de plus de 55 ans. Près de la moitié des investisseurs les plus jeunes, âgés de 18 à 34 ans, détiennent déjà des placements responsables, tout comme plus du tiers des investisseurs âgés de 35 à 54 ans, comparativement à seulement 18 % des investisseurs de 55 ans et plus. Environ 45 % des investisseurs de moins de 55 ans ont déclaré qu’ils étaient plus susceptibles de choisir des investissements responsables aujourd’hui qu’ils ne l’étaient il y a un an, contre 30 % des investisseurs de 55 ans et plus. 3

    Le transfert intergénérationnel de richesse, par lequel 1 000 milliards de dollars seront transmis d’ici 2026, fera de la génération du millénaire la plus riche de l’histoire du Canada. 4 Cela signifie que les attitudes, les valeurs, les croyances et la tolérance au risque des jeunes investisseurs sont susceptibles de façonner leurs stratégies d’investissement. Les conseillers se doivent d’être prêts. 

  • Que pensent les femmes de l’investissement responsable?

    Un sondage récent auprès des investisseurs canadiens a révélé que les femmes s’intéressent plus à l’investissement responsable que les hommes, mais qu’elles étaient moins bien informées et que leur conseiller ou conseillère est moins susceptible de les interroger à ce sujet. Environ 67 % des femmes étaient « plutôt » ou « très » intéressées par l’investissement responsable comparativement à 61 % des hommes. Plus de femmes que d’hommes voulaient être informées des options d’investissement responsable (76 % contre 69 %), mais les conseillers les ont moins questionnées à ce sujet (26 % contre 36 % des hommes). Seulement 25 % des femmes ont déclaré avoir une « bonne connaissance » ou une « connaissance poussée » de l’investissement responsable comparativement à 34 % des hommes. Environ 43 % des femmes ont affirmé être plus susceptibles de choisir l’investissement responsable aujourd’hui qu’il y a un an, contre 36 % des hommes. 3

    Les Canadiennes contrôlent 2 200 milliards de dollars d’actifs financiers — un chiffre qui devrait grimper à près de 3 800 milliards au cours de la prochaine décennie — et les conseillers doivent tenir compte des valeurs et des attentes de ce segment. 5

  • Comment les critères ESG aident-ils les gestionnaires à sélectionner les actions?

    Traditionnellement, les gestionnaires de portefeuille prennent leurs décisions en matière de sélection des actifs en se fondant principalement sur l’analyse financière, qui les aide à comparer et à évaluer les entreprises dans lesquelles ils envisagent d’investir. Les facteurs ESG apportent un éclairage supplémentaire sur les aspects non financiers d’une entreprise susceptibles d’influer sur sa viabilité à long terme, ses performances financières et son potentiel de croissance.

    Ces facteurs ESG peuvent inclure l’empreinte carbone, les pratiques de travail, la diversité du conseil d’administration, la rémunération des cadres, etc. Parfois, lorsque l’analyse ESG révèle qu’une entreprise ne répond pas aux attentes des investisseurs, les gestionnaires de portefeuille utiliseront leur participation par le biais de vote ou de dialogue pour influencer l’entreprise afin qu’elle améliore ses pratiques ESG. 

  • Comment puis-je savoir si ma clientèle est axée sur les valeurs?

    Plusieurs signes peuvent indiquer qu’une personne est attachée à ses valeurs, soit que ses actions sont le reflet de ses croyances et de ses principes. En écoutant votre clientèle, vous pouvez obtenir des indices qui vous aideront à déterminer si l’investissement durable peut l’intéresser.

    Voici quelques exemples simples :

    • Le comportement d’achat : Votre cliente achète-t-elle des produits respectueux de l’environnement? Par exemple, conduit-elle une voiture hybride ou électrique? Ou achète-t-elle du café de commerce équitable ou des aliments biologiques?
    • Le soutien à des causes : Votre client est-il un bénévole actif ou donne-t-il de l’argent à des causes?
    • Des actions quotidiennes : Vos clients utilisent-ils une bouteille d’eau réutilisable ou jetable? Apportent-ils leur dîner dans des contenants réutilisables? Se rendent-ils à l’épicerie du coin à vélo plutôt qu’en voiture?


    Un dernier indice : si on lui pose la question, une personne réellement attachée à ses valeurs sera probablement heureuse d’expliquer ce qu’elle fait et pourquoi, et peut-être même d’essayer de vous convaincre d’en faire autant.

1 RIA Canada. Rapport de tendances de l’IR canadien 2022.

2 Capital Group. L’investissement ESG dans le monde en 2022. 

3 RIA Canada. Sondage d’opinion des investisseurs 2022.

4 Macleans magazine, mars 2022.

5 Investment Executive

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